Collaborateur de longe date de RRI, l’ONG Social Entrepreneurs for Sustainable Development (Entrepreneurs sociaux pour le développement durable, SESDev) a étudié comment la loi sur les droits fonciers du Liberia a impacté les droits fonciers et les moyens de subsistances des femmes depuis 2018.
Le Sénat de la République démocratique du Congo a fait un grand pas en avant le 10 juin 2022 dans la reconnaissance des droits coutumiers de sa population autochtone en adoptant une nouvelle loi sur la promotion et la protection des droits des peuples autochtones pygmées.
Alors que le rôle joué par les peuples autochtones et les communautés locales dans la sauvegarde de la planète est reconnu depuis longtemps par les initiatives mondiales en matière de climat et de conservation, leurs représentants et alliés ont lancé un nouveau mécanisme pour financer les efforts menés localement dans le plein respect des droits des peuples autochtones et des communautés locales.
Une décennie d'efforts de la coalition RRI en RDC a conduit à une politique foncière progressiste dans le pays.
Nous sommes ravis d’annoncer que l’Initiative des droits et ressources, l’Alliance mondiale des collectivités territoriales et la Campagne pour la nature ont reçu une subvention du Bezos Earth Fund afin de renforcer conjointement la reconnaissance des droits fonciers des peuples autochtones, des communautés locales et des peuples afro-descendants dans les Andes tropicales et le bassin du Congo.
Un nouveau rapport du Fonds de partenariat pour le carbone forestier (FCPF), un partenariat mondial visant à réduire les émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts, et du fonds de la Banque mondiale pour l'amélioration de l'accès aux avantages tout en réduisant les émissions (EnABLE), décrit les moyens concrets que les communautés mondiales peuvent mettre en œuvre pour atténuer le changement climatique en renforçant la souveraineté autochtone.
À l'occasion de la 26e Conférence des Parties de la CCNUCC, de nouvelles recherches montrent que les peuples autochtones et les communautés locales détiennent au moins 958 millions d'hectares de terres dans des pays où se trouvent la majorité des forêts tropicales menacées de la planète, mais qu'ils ne disposent de droits légaux que sur moins de la moitié de leurs terres.
Du 12 au 14 octobre, le Réseau africain d'institutions foncières pour les droits communautaires (ALIN) tiendra sa 3e conférence régionale, dans le but d'intensifier la mise en œuvre des droits fonciers communautaires sur le continent.
Aux quatre coins du monde, la pandémie de COVID-19 a généré toute sorte de difficultés inédites pour les organisations membres du réseau RRI et leurs communautés. Dans de nombreux cas, elle a aussi donné lieu à des nouvelles possibilités d’autonomie pour les communautés locales. C’est l’une de ces opportunités qu’a saisi l’organisation Social Entrepreneurs for Sustainable Development (SESDev), une ONG libérienne spécialisée dans les droits de gouvernance sur les ressources naturelles.
L'Afrique connaît actuellement ce que l'on peut appeler sa "troisième grande transformation foncière". Celle-ci fait suite à la première, inaugurée par les puissances coloniales, et à la deuxième, lancée par les États postcoloniaux à des fins de développement et d'infrastructure. La vague d'accaparement des terres du 21ème siècle, qui a explosé ces dernières années, constitue la troisième.
Les projets pilotes de la REDD+ implémentés dans la province de Mai-Ndombe, à l’ouest de la République Démocratique du Congo, peuvent nuire à leurs bénéficiaires, sans pour autant stopper la déforestation, conclut une étude de Rights & Resources Initiative (RRI) révélée le 14 mars 2018.
Dans une nouvelle étude publiée aujourd’hui, des chercheurs affirment avoir identifié des problèmes majeurs relatifs à des projets de préservation de la forêt en cours dans une région fortement boisée de la République démocratique du Congo, où une décision sur les futurs investissements du Fonds de partenariat pour le carbone forestier de la Banque mondiale est imminente.
Souvent, des organisations autochtones et communautaires trouvent que la création des lois innovantes sur le régime foncier n’engendre pas de mise-en-œuvre effective. Même en RDC, où les lois forestières permettent la gestion et propriétaire communautaire, il existe des obstacles importants à la réalisation des droits forestières coutumiers.
Pour répondre à ce défi, le Centre d’Appui à la Gestion Durable des Forêts Tropicales (CAGDFT), en consortium avec le Réseau pour la Conservation et la Réhabilitation des Ecosystèmes Forestières (CREF) et Forêts pour le Développement Intégral (FODI), ont réalisé un projet d’harmonisation des outils pour la mise en œuvre de la foresterie communautaire accompagné d’une sensibilisation en Nord-Kivu et en Equateur au République Démocratique du Congo (RDC).
Au cours de l’année écoulée, des représentants de commissions foncières africaines avaient exprimé le souhait d’échanger des expériences avec leur collègues à travers le continent afin d’en tirer parti. A cet effet, RRI et l’Initiative sur les Politiques Foncières de l’Union Africaine (LPI) ont co-organisé en juillet 2017 à Accra au Ghana un atelier de trois jours regroupant les représentants de commissions foncières des quatre coins du continent.
Environ 63 % des conflits liés aux investissements privés à base foncière et des ressources naturelles en Afrique sont causés par le déplacement forcé des populations, révélent de nouvelles recherches publiées, jeudi à Dakar, par la structure TMP Systems et l’Initiative des droits et ressources (RRI).
Des experts à Dakar signalent une cause importante de pertes sur investissement, d’interruptions de travaux et de violence en Afrique : le non respect des droits fonciers des peuples autochtones et des communautés locales par les États et les entreprises
Au Cameroun, la coalition Initiative des Droits et Ressources (RRI) a présenté aujourd’hui à Yaoundé sa position sur la réforme foncière aux représentants de l’État…
Son Excellence a visité le Secrétariat de RRI le 26 Mars 2015 L’Initiative des Droits et Ressources (RRI) a eu l’honneur d’accueillir à son Secrétariat…
Une édition spéciale de Le plus de Repères mettant l’accent sur les droits fonciers au Cameroun. Télécharger le fichier PDF ici.
Après le secteur des mines, qui a subi une véritable razzia, c’est le tour de terres arables de la RDC de faire l’objet d’une ruée à l’échelle internationale. Dans son livre intitulé « Le futur », Al Gore, ancien vice-président des Etats-Unis, note que 48,8% des 120 millions d’hectares des terres arables que compte le Congo-Kinshasa sont déjà cédées aux étrangers. Un véritable bradage qui se fait malheureusement, dénonce l’ex numéro 2 sous Bill Clinton, au détriment du peuple congolais. Une redéfinition s’impose.
Comme on le voit sur REPAR Ils étaient une quarantaine, les journalistes et les communicateurs qui ont pris part à l’atelier de formation de 3 jours…
Les «Bagyeli», ont été déplacés de leurs terres ancestrales, sans avoir été recasés. Les « Bagyeli » sont des pygmées qui sont victimes de l’accaparement de leurs terres, depuis que la Société camerounaise des Palmeraies (Socapalm), une entreprise spécialisée dans la production d’huile de palme, a décidé d’étendre ses plantations de la Kienke, localité située à une trentaine de kilomètres de Kribi, chef –lieu du département de l’Océan région du Sud Cameroun.
Comme on le voit sur Camer Des Ong de la société civile, ont organisé du 14 au 16 mai 2014, à Kribi, un atelier sur la…