Bonnes pratiques des Collaborateurs de RRI en Afrique

Les collaborateurs de RRI de la région Afrique ont mis en œuvre un large éventail de projets dont l'objectif principal est d'assurer l'occupation des terres par les peuples autochtones et les communautés locales comme base de référence pour d'autres engagements pro-communautaires. RRI met en évidence certaines des meilleures pratiques de ces projets afin de renforcer le plaidoyer des membres de notre Coalition et d'autres travaux, maintenant et à l'avenir.

Longtemps exclues de la possession des terres par les régimes coutumiers et les régimes statutaires, il est temps que les femmes africaines détiennent et exercent des droits fonciers et forestiers sécurisés par des mécanismes formels et non formels à l’intérieur des microcosmes ruraux. D’un, ce serait une réponse énergique à l’injustice, à la violence juridique et à la violence symbolique. De deux, ce serait un levier pour l’endiguement de l’érosion de la biodiversité et des services écosystémiques. De trois, ce serait une arme de lutte contre les effets socio-écologiques des changements climatiques. De quatre, ce serait un outil de lutte contre la pauvreté.

Crise de la COVID-19 sur fond de lois et règlementations préjudiciables en Asie du Sud et du Sud-Est

Le présent document traite des évolutions législatives survenues pendant la crise de la COVID-19 en Inde, en Indonésie et aux Philippines qui compromettent les interactions durables entre l'homme et son environnement et, pour les PA et les CL, la jouissance des droits sur leurs territoires coutumiers. Même si l'Inde, l'Indonésie et les Philippines n’ont toujours pas ratifié la Convention 169 relative aux peuples autochtones et tribaux, 1989 (OIT 169), ces trois pays ont déjà ratifié la Déclaration des Nations unies sur les droits des Peuples Autochtones (UNDRIP). Chacun de ces pays a également initié des réformes de tenure foncière et forestière au niveau national, même si leur mise en oeuvre suit un rythme faible.

Urgence et opportunité

Les opportunités pour un tel changement n’ont jamais été aussi claires et urgentes. En améliorant la collaboration avec les organisations autochtones et la société civile…

À qui appartient l’eau ?

Ce dossier résume les résultats de la première évaluation comparative internationale sur la mesure dans laquelle divers cadres juridiques nationaux reconnaissent les droits des peuples autochtones et des communautés locales en matière d'eau douce, ainsi que les droits spécifiques des femmes à utiliser et à gérer les eaux communautaires.