Ce rapport vise à influencer l'agenda de la localisation et à améliorer les politiques et les pratiques bilatérales afin de s'assurer qu'un soutien plus direct et mieux adapté atteigne les peuples autochtones, les communautés locales, les peuples afro-descendants et les organisations qui les soutiennent pour garantir les droits fonciers et conserver les écosystèmes clés et la biodiversité.
Cette note politique résume les résultats d'une étude à venir menée par l'Initiative des droits et ressources (RRI) et l'Université McGill pour analyser systématiquement les droits carbone détenus par les peuples autochtones, les communautés locales et les peuples afro-descendants dans 33 pays d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine.
En réponse au manque de données sur les financements destinés aux femmes et à la nécessité de soutenir le plaidoyer international en faveur d’un financement direct des organisations de femmes issues des PA, des PAD et des CL, l’Initiative des droits et ressources (RRI) a initié des travaux de recherche ascendants visant à établir une base de référence pour mesurer les niveaux de financement atteignant les femmes des communautés au niveau local, et à évaluer dans quelle mesure les subventions et les mécanismes de financement existants sont considérés comme étant adaptés aux objectifs par les organisations bénéficiaires.
L'Initiative des droits et ressources et Rainforest Foundation Norway sont ravis d'annoncer le lancement du tableau de bord Path to Scale, un nouvel outil en ligne open-source qui permet d'accéder facilement aux données relatives au financement des bailleurs de fonds pour la tenure et la garde des forêts des peuples autochtones, des peuples afro-descendants et des communautés locales.
Le 17 septembre 2023, plus de 70 représentants des titulaires de droits et leurs alliés se sont réunis pour un dialogue mondial sur la façon dont le financement climatique peut ou doit soutenir leur vision de l'avenir dans un monde affecté par le changement climatique. Tenu selon les règles de Chatham House, le dialogue a cherché à aller au-delà des lacunes et des défis connus pour répondre aux besoins critiques des détenteurs de droits et commencer à définir des voies qui peuvent soutenir un avenir plus juste, équitable, inclusif, durable et résilient au changement climatique pour tous.
Ce rapport présente l'image la plus complète et la plus actualisée des progrès réalisés au niveau mondial en matière de reconnaissance juridique des régimes fonciers communautaires et offre une base de référence pour le suivi des objectifs du Cadre mondial pour la biodiversité de Kunming-Montréal à l'horizon 2030.
Ce document partage les idées, les principes et les bonnes pratiques émergents pour socialiser le concept de suivi communautaire parmi les entreprises et les investisseurs dans les secteurs liés à la terre, ainsi que les mesures qu'ils peuvent prendre pour s'engager de manière significative avec les peuples autochtones, les communautés locales et les peuples afro-descendants pour suivre et répondre aux impacts potentiels de leurs opérations, chaînes d'approvisionnement ou investissements sur l'environnement et les droits de l'homme.
Au cours de l’année 2022, cent dirigeants de réseaux de base dans 22 pays – hommes, femmes et jeunes issus des peuples autochtones, des communautés locales et des populations afro-descendantes – ont été interrogés sur leurs espoirs, leurs rêves et leurs craintes pour l’avenir.
Cette recherche rappelle opportunément l’importance mondiale des terres et territoires détenus par les communautés, leur importance pour la protection, la restauration et l’utilisation durable des forêts tropicales à travers le monde, ainsi que les lacunes critiques dans l’architecture du développement international qui ont jusqu’à présent sapé les progrès vers la reconnaissance légale de ces terres et territoires.
Ce dossier résume les résultats de la première évaluation comparative internationale sur la mesure dans laquelle divers cadres juridiques nationaux reconnaissent les droits des peuples autochtones et des communautés locales en matière d'eau douce, ainsi que les droits spécifiques des femmes à utiliser et à gérer les eaux communautaires.
Cette analyse présente les tendances mondiales en matière de droits forestiers sur une période de quinze ans allant de 2002 à 2017. C’est le quatrième volet d’une série d’analyses de la reconnaissance légale des droits forestiers dans le monde, en fonction de quatre catégories de régimes fonciers juridiquement reconnus (par voie statutaire) auxquels les forêts peuvent être soumises : placées sous administration gouvernementale, assignées aux peuples autochtones et aux communautés locales, appartenant aux peuples autochtones et aux communautés locales, et détenues à titre privé par des particuliers ou des entreprises.
En 2016, il est désormais massivement reconnu que les droits fonciers des peuples autochtones et des communautés locales sont essentiels pour assurer la paix et la prospérité, le développement économique, la sûreté des investissements, et l’atténuation et l’adaptation aux changements climatiques.
Les conclusions de cette étude exposent la plus irréfutable preuve quantitative à ce jour du rôle incomparable que les peuples forestiers ont à jouer dans…
Ce rapport mesure le carbone stocké au-dessus du sol dans les forêts tropicales qui sont légalement ou traditionnellement détenues par les peuples autochtones et les…
Il y a un peu plus de dix ans, plusieurs responsables d’agences forestières publiques de nombreux pays se sont réunis à Beijing, en Chine, lors…
L’analyse établit un niveau de référence global des données relatives à la reconnaissance légale des droits fonciers des communautés locales et des peuples autochtones.
Mais l’année dernière, en dépit de multiples déclarations encourageantes –provenant de tribunaux, de gouvernements et de quelques-unes des plus grandes entreprises du monde– les progrès accomplis sur le terrain sont restés, malheureusement, très limités.