Alors que les Etats « font le plein » d’engagements énoncés dans l’accord de Paris sur le climat, deux nouveaux rapports révèlent qu’actuellement, des projets REDD+ de plusieurs dizaines de millions de dollars mettent en péril les vies et les terres des peuples autochtones, des communautés locales et des femmes rurales qui ont pourtant démontré être des gestionnaires plus efficaces des forêts tropicales que le privé et le public.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

  • Communiqué de presse | français | anglais

RAPPORTS FINAUX

  • Mai-Ndombe : le laboratoire de la REDD+ bénéficiera-t-il aux Peuples Autochtones et communautés locales ? | français | anglais
  • Uncertainty and Opportunity: The Status of Forest Carbon Rights and Governance Frameworks in Over Half of the World’s Tropical Forests | anglais

POUR RSVP OU PLUS D’INFORMATIONS

Coimbra Sirica : [email protected] ou tel : +1 301 943 3287 (EST)

Susan Tonassi : [email protected] ou tel : +49 160 9327 9327(CET)

QUI

  • Chouchouna Losale, vice-coordinatrice, Coalition des femmes leaders pour l’environnement et le développement durable, RDC
  • Samuel Nguiffo, président, Centre pour l’environnement et le développement, Cameroun
  • Marine Gauthier, auteur du rapport
  • Andy White, coordinateur, L’Initiative des droits et ressources
  • Alain Frechette, chercheur, directeur, analyse stratégique et engagement global, L’Initiative des droits et ressources

RESSOURCES

QUOI

Petit-déjeuner informel pour lancer les deux nouveaux rapports portant sur l’impact potentiel du travail de l’ONU et des autres efforts internationaux en faveur de la protection forestière ciblant les peuples autochtones et les communautés locales.

Les Bains Paris
7 Rue du Bourg-l’Abbé
75003 Paris
Tel: +33 1 42 77 07 07

Le 14 mars à 9h30 (UTC+1)