Les projets pilotes de la REDD+ implémentés dans la province de Mai-Ndombe, à l’ouest de la République Démocratique du Congo, peuvent nuire à leurs bénéficiaires, sans pour autant stopper la déforestation, conclut une étude de Rights & Resources Initiative (RRI) révélée le 14 mars 2018.
Environ 63 % des conflits liés aux investissements privés à base foncière et des ressources naturelles en Afrique sont causés par le déplacement forcé des populations, révélent de nouvelles recherches publiées, jeudi à Dakar, par la structure TMP Systems et l’Initiative des droits et ressources (RRI).
Monrovia – A group of rural and urban poor women under the banner of the ‘Natural Resource Women Platform’ has catalogued abuses and untold suffering…
De Le Monde Par Simon Roger Nouveau terrain de jeu des industriels du palmier à huile et de l’hévéa, l’Afrique devient aussi la nouvelle frontière…
As seen on The Guardian
Les femmes autochtones travaillent pour leurs droits En février, des femmes provenant de 20 pays différents se sont réunies à Chiang Mai, en Thaïlande, pour…
Cette édition du bulletin d’information de FPP présent des histoires qui parlent des droits et des griefs des forêts du monde, au fur et à…
Une édition spéciale de Le plus de Repères mettant l’accent sur les droits fonciers au Cameroun. Télécharger le fichier PDF ici.
Après le secteur des mines, qui a subi une véritable razzia, c’est le tour de terres arables de la RDC de faire l’objet d’une ruée à l’échelle internationale. Dans son livre intitulé « Le futur », Al Gore, ancien vice-président des Etats-Unis, note que 48,8% des 120 millions d’hectares des terres arables que compte le Congo-Kinshasa sont déjà cédées aux étrangers. Un véritable bradage qui se fait malheureusement, dénonce l’ex numéro 2 sous Bill Clinton, au détriment du peuple congolais. Une redéfinition s’impose.
Comme on le voit sur REPAR Ils étaient une quarantaine, les journalistes et les communicateurs qui ont pris part à l’atelier de formation de 3 jours…
Les «Bagyeli», ont été déplacés de leurs terres ancestrales, sans avoir été recasés. Les « Bagyeli » sont des pygmées qui sont victimes de l’accaparement de leurs terres, depuis que la Société camerounaise des Palmeraies (Socapalm), une entreprise spécialisée dans la production d’huile de palme, a décidé d’étendre ses plantations de la Kienke, localité située à une trentaine de kilomètres de Kribi, chef –lieu du département de l’Océan région du Sud Cameroun.
Comme on le voit sur Intégration Las d’attendre le changement promis par les organisations de la société civile, certains peuples autochtones doutent de plus en plus de…
Comme on le voit sur Camer Des Ong de la société civile, ont organisé du 14 au 16 mai 2014, à Kribi, un atelier sur la…
FPP: Bulletin d’information – Février 2014
Green Peace: Les forêts et les communautés d'Afrique continuent d'être menacées par une société américaine
Média Terre: Les africains harmonisent leurs politiques en matière de gestion forestière et de changement climatique
Voix de l'Amérique: Yaoundé acceuille une réunion d’experts sur la saisie de terres en Afrique
Le Monde: Mobilisation pour l'Amazonie équatorienne » déchirée entre pétrole et biodiversité
Agence Congolaise de Presse: Tenue à Kinshasa d’un atelier national de validation de l’étude sur la gouvernance foncière en RDC
Agence France Presse: Investir dans les terres des autres » un pari à haut risque
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