Cette édition du bulletin d’information de FPP présent des histoires qui parlent des droits et des griefs des
forêts du monde, au fur et à mesure que des intérêts et des approches contradictoires luttent pour décider leur
destin et ceci des peuples, dans différent pays forestiers.

En septembre 2014, quatre chefs Asháninka de la communauté de Saweto, au Pérou, ont été assassinés
violemment par des exploitants forestiers illégaux. Ceci était un rappel inquiétant de la vulnérabilité persistante
des populations forestières dans leur lutte pour obtenir un titre légal de propriété sur leurs terres et leurs forêts
coutumières contre les personnes et compagnies qui ont des intérêts particuliers. Le droit péruvien exige que
le gouvernement reconnaisse légalement et démarque les terres traditionnelles des peuples autochtones, et
leur accorde des titres avant d’autoriser l’extraction des ressources, mais les terres des Saweto ne disposent pas
à ce jour de titre de propriété, permettant de cette façon la conversion des forêts et l’exploitation commerciale.

Le Pérou organisera également les négociations de la CdP20 de la CCNUCC en décembre, pour discuter et
négocier les questions forestières relatives à l’atténuement des changements climatiques. Lors de cette réunion,
le FPP et l’organisation de peuples autochtones du Pérou AIDESEP organiseront aussi une audience publique
internationale dans le but d’écouter des témoignages de la communauté sur la déforestation et les droits de
l’homme. L’invitée spéciale de cette réunion sera Madame Victoria Tauli-Corpuz, Rapporteuse spéciale des
Nations Unies sur les droits des peuples autochtones. Cette réunion sera également l’occasion de lancer un
rapport décisif sur la déforestation, en présence des certains des auteurs et des communautés concernées, et de
réitérer que garantir les droits humains des peuples de la forêt va de pair avec la sécurisation des forêts dans le
monde.

En faisant participer activement les acteurs qui affectent leurs forêts et de leurs droits, les peuples des forêts
sont en train de transformer les pratiques institutionnalisées et chercher des solutions créatives qui incluent
le respect des droits de l’homme sur les forêts au moment des prises des décisions. Les Sengwer de la forêt
d’Embobut, au Kenya, ont sécurisé l’engagement du Président Kim de la Banque mondiale à prendre contact
avec le Président Kenyatta, après des évictions forcées par des gardes armés du Service forestier du Kenya (KFS),
associées à un projet de conservation des forêts financé par la Banque mondiale. Les chefs communautaires ont
appelé à un plan d’action rigoureux par le gouvernement kenyan à fin de résoudre la crise forestière.

Cette édition du bulletin d’information de FPP présent des histoires qui parlent des droits et des griefs des
forêts du monde, au fur et à mesure que des intérêts et des approches contradictoires luttent pour décider leur
destin et ceci des peuples, dans différent pays forestiers.

En septembre 2014, quatre chefs Asháninka de la communauté de Saweto, au Pérou, ont été assassinés
violemment par des exploitants forestiers illégaux. Ceci était un rappel inquiétant de la vulnérabilité persistante
des populations forestières dans leur lutte pour obtenir un titre légal de propriété sur leurs terres et leurs forêts
coutumières contre les personnes et compagnies qui ont des intérêts particuliers. Le droit péruvien exige que
le gouvernement reconnaisse légalement et démarque les terres traditionnelles des peuples autochtones, et
leur accorde des titres avant d’autoriser l’extraction des ressources, mais les terres des Saweto ne disposent pas
à ce jour de titre de propriété, permettant de cette façon la conversion des forêts et l’exploitation commerciale.
Le Pérou organisera également les négociations de la CdP20 de la CCNUCC en décembre, pour discuter et
négocier les questions forestières relatives à l’atténuement des changements climatiques. Lors de cette réunion,
le FPP et l’organisation de peuples autochtones du Pérou AIDESEP organiseront aussi une audience publique
internationale dans le but d’écouter des témoignages de la communauté sur la déforestation et les droits de
l’homme. L’invitée spéciale de cette réunion sera Madame Victoria Tauli-Corpuz, Rapporteuse spéciale des
Nations Unies sur les droits des peuples autochtones. Cette réunion sera également l’occasion de lancer un
rapport décisif sur la déforestation, en présence des certains des auteurs et des communautés concernées, et de
réitérer que garantir les droits humains des peuples de la forêt va de pair avec la sécurisation des forêts dans le
monde.
En faisant participer activement les acteurs qui affectent leurs forêts et de leurs droits, les peuples des forêts
sont en train de transformer les pratiques institutionnalisées et chercher des solutions créatives qui incluent
le respect des droits de l’homme sur les forêts au moment des prises des décisions. Les Sengwer de la forêt
d’Embobut, au Kenya, ont sécurisé l’engagement du Président Kim de la Banque mondiale à prendre contact
avec le Président Kenyatta, après des évictions forcées par des gardes armés du Service forestier du Kenya (KFS),
associées à un projet de conservation des forêts financé par la Banque mondiale. Les chefs communautaires ont
appelé à un plan d’action rigoureux par le gouvernement kenyan à fin de résoudre la crise forestière.