Partenaires
La coalition RRI est formée par un groupe de 21 partenaires principaux qui travaillent dans leurs domaines de compétences thématiques et régionales. Les partenaires actuels de RRI comprennent:
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Pacte asiatique des peuples autochtones
Le Pacte asiatique des peuples autochtones (Asia Indigenous Peoples Pact – AIPP) est une organisation régionale fondée en 1988 par des mouvements de peuples autochtones. L’AIPP s’emploie à promouvoir et défendre les droits des peuples autochtones et les droits humains, ainsi qu’à coordonner les questions qui concernent les peuples autochtones.
À ce jour, le Pacte est composé de 47 membres issus de 14 pays d’Asie, et 14 groupements nationaux, 15 infranationaux et 18 locaux. Six de ces groupements sont des organisations de femmes autochtones et quatre sont des organisations de jeunes autochtones.
La mission du AIPP est de renforcer la solidarité, la coopération et les capacités des peuples autochtones d’Asie afin de promouvoir et de protéger leurs droits, leur culture et leur identité, ainsi que leurs systèmes de gestion durable des ressources, en faveur de leur développement et de leur autodétermination.
Pour plus d’information, visitez le site web de l’AIPP.
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Alliance des peuples autochtones de l’archipel (AMAN), Indonésie
L’Aliansi Masyarakat Adat Nusantara (AMAN), ou l’Alliance des peuples autochtones de l’archipel, est une alliance nationale de peuples autochtones originaires d’Indonésie. L’organisation a été fondée en 1999, lorsque 400 dirigeants autochtones de l’ensemble de l’archipel se sont réunis, ont convenu d’une vision commune, d’une mission et de principes, et ont défini l’objet de leur lutte et leur programme de travail.
AMAN se bat pour la réalisation de la souveraineté culturelle, économique et politique des peuples autochtones ; pour le rétablissement de la confiance, de la fierté et de la dignité des peuples autochtones, hommes et femmes, de façon à ce qu’ils puissent exercer leurs droits ; pour le rétablissement de la souveraineté des peuples autochtones favorable au maintien de leurs droits économiques, sociaux, culturels et politiques ; pour l’éducation des peuples autochtones et le renforcement de leurs capacités à conserver et à développer les connaissances autochtones en matière de protection de la terre, de l’eau et des ressources naturelles ; pour développer un processus démocratique de prise de décisions ; et pour défendre et stimuler la reconnaissance, le respect, la protection et la réalisation des droits des peuples autochtones.
À l’échelle mondiale, AMAN est également très active dans le plaidoyer pour l’adoption par l’État indonésien de la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones, et dans la construction de liens avec les institutions de financement internationales et les réseaux d’entreprises multinationales qui ont une influence, directe ou indirecte, sur la vie des peuples autochtones en Indonésie.
Pour plus d’information, visitez le site web de l’AMAN.
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Alliance mésoaméricaine des peuples et des forêts (AMPB)
Créée en 2010, l’Alliance mésoaméricaine des peuples et des forêts (AMPB) est un espace de coordination et d’échange rassemblant dix autorités territoriales qui gèrent ou exercent une influence sur la gestion d’importantes zones boisées de Mésoamérique. Les gouvernements autochtones et les organisations forestières communautaires représentés au sein de l’Alliance cherchent à renforcer leur propre dialogue, axé autour de la gestion communautaire des ressources naturelles, tout en essayant d’unir leurs forces pour influencer les gouvernements et les stratégies de coopération internationale.
Pour plus d’information, visitez le site web de l’AMPB.
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Centre pour l’environnement et le développement (CED)
Le Centre pour l’environnement et le développement (CED) a été fondé en 1995 dans le but spécifique de concrétiser la gestion durable des forêts d’Afrique centrale. Il visait à contrer les menaces croissantes pesant sur les forêts au cours des années 1990. L’action du Centre s’ancre aujourd’hui dans un contexte local (là où la destruction des forêts a lieu et où ses effets touchent le plus durement les communautés) et national (là où sont prises les décisions conduisant à la déforestation ou à la dépossession des populations locales). Le CED œuvre également à l’échelle internationale, lieu de prise de décisions affectant les forêts et la vie de millions de personnes.
La vision du CED est celle d’une société dans laquelle la gestion des ressources naturelles (forêt, pétrole, mines, foncier) assure, à long terme, la durabilité sociale, économique et écologique. Sa mission est de contribuer à la protection des droits, des intérêts, de la culture et des aspirations des communautés locales et autochtones des forêts d’Afrique centrale, par la promotion de la justice environnementale et de la gestion durable des ressources naturelles de la région.
Le CED joue un rôle de vigilance en passant au crible les initiatives, les processus, les politiques et les pratiques de tous les acteurs, de façon à garder un œil sur leur efficacité en matière de protection des fonctions et des services forestiers essentiels, et de reconnaissance des droits des communautés. Au-delà de ce rôle, le CED explore des alternatives aux modèles dominants et définit sa stratégie dans le respect de l’environnement sur la base de trois principes : la mobilisation (comme moyen de légitimer ses actions en faveur de la durabilité), la résistance (face aux méthodes non viables de gestion des ressources naturelles) et la transformation (en recherchant des solutions axées sur la durabilité).
Pour plus d’information, visitez le site web de CED.
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Centre de recherche forestière internationale (CIFOR)
Le CIFOR oeuvre en faveur du bien-être humain, de la conservation de l’environnement et de l’équité par sa recherche scientifique qui contribue à l’élaboration des politiques et des pratiques affectant les forêts dans les pays en développement. Le CIFOR est membre du Consortium du CGIAR. Son siège est situé à Bogor en Indonésie et il est également implanté en Asie, en Afrique et en Amérique latine.
Pour plus d’information, visitez le site web de CIFOR.
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Civic Response
Civic Response (Réponse Civique) a été créée en 2003 par un groupe d’activistes sociaux possédant une large expérience en matière de campagnes au Ghana et sur la scène internationale. Civic Response travaille afin d’approfondir l’analyse politique et économique des groupes de base et pour permettre que leur réseau promeuve l’émergence de mouvements sociaux articulés qui aideraient à la démocratisation et au développement des sociétés africaines, ainsi qu’aux luttes du développement international.
Pour plus d’information, visitez le site web de Civic Response.
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Coordination des Organisations Autochtones du Bassin Amazonien (COICA)
La COICA (Coordination des Organisations Autochtones du Bassin Amazonien) est une organisation autochtone qui rassemble les organisations de plusieurs pays et qui concentre ses efforts sur la promotion, la protection et la sécurisation des terres appartenant aux peuples autochtones à travers leurs modes de vie, leurs principes et leurs valeurs sociales, spirituelles et culturelles. Les organisations réunies au sein de la COICA travaillent ensemble en vue de développer des politiques, des propositions et des actions à l’échelle locale, nationale et internationale pour promouvoir les droits des peuples autochtones d’Amazonie.
Pour plus d’information, visitez le site web de COICA.
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Dynamique des Groupes des Peuples Autochtones
Associations autochtones, organisation non gouvernementales et Groupes œuvrant dans le domaine de promotion et protection des droits et intérêts des Peuples Autochtones en République Démocratique du Congo (RDC) ; Il est créé, à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, en date du 18 février 20105 conformément à la loi n° 004/2001 du 20 juillet 2001 portant dispositions générales applicables aux associations sans but lucratif et aux établissements d’utilité publique, une plate forme d’association autochtones et celles accompagnant les peuples autochtones, dénommée « DYNAMIQUE DES GROUPES DES PEUPLES AUTOCHTONES », « DGPA »
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FECOFUN
La Fédération des Usagers de Forêts Communautaires du Népal (FECOFUN pour les initiales en anglais) est un réseau formel de Groupes d’Usagers Forestiers Communautaires de tout le Népal.
FECOFUN est née de l’idée que les usagers forestiers de tout le pays devaient être reliés, afin de renforcer leur rôle dans les processus de décisions politiques. Depuis sa création en juillet 1995, FECOFUN s’est transformée en une organisation de type mouvement social représentant près de 8,5 millions d’individus – tous usagers forestiers. à ce jour, plus de 11 200 Groupes d’Usagers Forestiers Communautaires sont affiliés à FECOFUN.
FECOFUN est devenue un mécanisme efficace pour favoriser le dialogue entre les décideurs politiques et les usagers, ainsi qu’un centre d’apprentissage de la gestion forestière pour les groupes d’usagers. Nous pensons que les communautés locales et les individus sont les réels gestionnaires des forêts. Nos expériences passées nous ont appris qu’il est possible pour les forêts et les hommes de vivre en harmonie.
FECOFUN est également un co-fondateur de l’Alliance Globale de Foresterie Communautaire, un réseau d’usagers forestiers communautaires au niveau international.
Pour plus d’information, visitez le site web de FECOFUN.
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Forest Trends
Forest Trends est une organisation internationale à but non lucratif qui travaille pour accroître la valeur des forêts au sein de la société; promouvoir la gestion durable des forêts et la conservation en créant et capturant les valeurs marchandes pour les services rendus par les écosystèmes; appuyer les compagnies et projets innovants qui développent ces nouveaux marchés; améliorer les modes de subsistance des communautés locales vivant au sein et à proximité des forêts.
Nous analysons les problèmes stratégiques relatifs aux marchés et aux politiques, catalysons les liens entre les producteurs innovateurs, les communautés et les investisseurs, et développons de nouveaux outils financiers pour aider les marchés à agir en faveur de la conservation et des populations.
Pour plus d’information, visitez le site web de Forest Trends.
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Helvetas
Helvetas s’engage pour un monde juste dans lequel les êtres humains déterminent le cours de leurs vies dans la dignité et la sécurité, en utilisant les ressources naturelles de manière durable et préservant l’environnement. Helvetas est une organisation indépendante de coopération au développement – avec des filiales indépendantes en Allemagne et aux USA – qui fournit une aide à l’autonomie et rend ainsi possibles de véritables changements dans environ 30 pays en Afrique, Asie, Amérique latine et Europe de l’Est.
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International Family Forestry Alliance
L’Alliance internationale des forêts familiales (International Family Forestry Alliance – IFFA) est le porte-parole de la foresterie familiale dans le monde. Le but de l’IFFA est de promouvoir le développement de la foresterie familiale et de défendre les politiques visant à la soutenir. L’IFFA formule des recommandations destinées aux processus internationaux de politique forestière et se pose en forum d’échange d’expériences, d’idées et d’informations.
L’organisation a été formellement créée le 1er juillet 2002. Au départ, il s’agissait d’un réseau informel d’organisations nationales de propriétaires forestiers. Pour être reconnue par les organisations intergouvernementales, en 2006, l’IFFA s’est dotée d’un secrétariat à Oslo (Norvège) et à Bruxelles (Belgique). Elle est aujourd’hui un réseau flexible d’organisations nationales de propriétaires forestiers.
Pour plus d’information, visitez le site web de l’IFFA.
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International Forestry Resources and Institutions
La mission première de Ressources forestières et des institutions internationales (IFRI, acronyme en anglais) est d’examiner comment les modalités de gouvernance ont une incidence sur la situation sociale et environnementale des forêts. Les décideurs politiques et chercheurs affiliés à l’IFRI s’attèlent à comprendre le rôle des institutions officielles et informelles dans le renforcement des moyens de subsistance et la capacité d’adaptation des populations, dans la conservation de la biodiversité et la promotion d’un système de séquestration du carbone plus viable. IFRI a été créé par le professeur Elinor Ostrom (Université de l’Indiana) qui a remporté le prix Nobel d’économie 2009.
L’objectif de l’IFRI est de mener des recherches rigoureuses qui peuvent aider les décideurs et les utilisateurs de la forêt à concevoir et mettre en œuvre des politiques forestières efficaces. Plus important encore, l’IFRI rassemble des instituts de recherche partenaires en Amérique du Nord, en Amérique latine, en Asie et en Afrique. Il s’appuie ainsi sur des connaissances et perspectives locales pour développer ses programmes de recherche. De plus, l’IFRI s’appuie sur une analyse institutionnelle et sur une structure de développement qui encourage la recherche interdisciplinaire et l’analyse afin d’opérer des comparaisons entre régions.
Plus précisément, l’IFRI répond entre autres aux objectifs de travail suivants :
- déterminer comment modifier les processus menant à la déforestation dans de nombreux pays du monde,
- évaluer la nature des compromis dans les domaines de la conservation des forêts, de la promotion des moyens de subsistance et de la séquestration du carbone,
- évaluer le rôle des institutions et des politiques pour la promotion de meilleurs résultats dans les zones forestières.
Le programme de recherche IFRI a été lancé en 1992. Il se trouve actuellement à l’Ecole des Ressources Naturelles et de l’Environnement de l’Université du Michigan, après avoir quitté l’Université de l’Indiana en 2006.
Pour plus d’information, visitez le site web de l’IFRI.
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Instituto Socioambiental
L’ISA s’est donné pour mission de défendre les droits sociaux, ancestraux et environnementaux. C’est la première organisation à avoir intégré les questions de la protection de l’environnement et du développement durable dans son travail avec les groupes autochtones. Les actions de l’ISA ont eu un impact important : non seulement elles ont influencé des politiques publiques et ont mené à l’adoption de nouvelles lois, mais elles ont aussi conduit au développement de 70 millions d’hectares dans le cadre de trois projets distincts menés à trois endroits au Brésil. L’organisation a introduit des programmes intégrés alliant cartographie et surveillance par satellite pour empêcher les invasions de territoire, production de revenus durables, création d’écoles et des cliniques conçues et administrées localement, extension de la citoyenneté formelle et plaidoyer pour l’évolution des politiques nationales. Ces initiatives sont devenues des modèles pour le développement socio-environnemental autochtone au Brésil et en Amérique latine.
Pour plus d’information, visitez le site web de l’ISA.
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Landesa
Landesa œuvre à grande échelle pour ouvrir de nouvelles perspectives aux plus démunis dans le monde de façon à les faire sortir de la pauvreté en collaborant avec les États et d’autres organisations pour renforcer les droits fonciers des sans-terre. Il vise à contribuer à l’élaboration et à la mise en œuvre de systèmes fonciers destinés à réduire la pauvreté, à donner aux femmes le pouvoir d’agir, à promouvoir une croissance économique inclusive, à améliorer la nutrition et la santé, à prévenir et réduire les conflits violents, et à favoriser la bonne gestion de l’environnement. Pour plus d’informations, consultez le site web de Landesa.
Pour plus d’information, visitez le site web de Landesa.
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ONAMIAP
D’ici 2020, l’ONAMIAP est une organisation renforcée, avec des bases dans 20 régions, et intégrée par des femmes de peuples autochtones, avec une identité renforcée qui a une reconnaissance, un leadership et une représentation sociale et politique aux niveaux régional, national et international. Elle a la capacité de proposer et d’influencer les politiques publiques. Elle participe aux différents espaces de décision qui existent en ce qui concerne les femmes et les peuples autochtones, en promouvant des propositions visant à garantir le bien vivre des femmes, des peuples autochtones et des générations futures.
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Proceso de Comunidades Negras en Colombia
Le Processus des communautés noires en Colombie est qui travaillent constamment à la transformation de la réalité politique, sociale, économique et territoriale des travers la défense et la revendication de leurs droits individuels, collectifs et ancestraux.
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PRISMA
PRISMA (Programme de recherche salvadorien de développement et de l’environnement) est un centre de recherche axé sur les politiques fondé au Salvador en 1993. Sa mission est d’œuvrer à la revalorisation sociale et environnementale des communautés et territoires ruraux, ce qu’il considère comme une partie intégrante des processus de développement. Son objectif est de voir les sociétés avancer vers plus de justice sociale et de durabilité environnementale. Une récente évaluation externe notes que « PRISMA est reconnu comme un centre qui relie le macro au micro, par ses analyses et ses efforts pour orienter le débat. La contribution de PRISMA ne se limite pas à la découverte de leçons apprises à travers ses travaux de systématisation des expériences, mais implique également d’identifier des cadres conceptuels en fonction de son analyse critique des conditions actuelles, qui peuvent être utiles dans l’élaboration des politiques, programmes et projets. » Au cours de sa première décennie (1993-2002), le programme PRISMA s’est surtout intéressé au Salvador. En 2003, le programme PRISMA a formellement intégré une composante régionale. L’approche régionale a considérablement augmenté, si bien qu’2006 l’organisation a adopté comme principal objectif « de consolider sa transformation en un centre de référence régional qui participe à la mobilisation des connaissances, au dialogue et à la sensibilisation. » PRISMA est une plate-forme régionale de dialogue, d’analyse critique et d’action. Cette plate-forme est un processus continu, une construction sociale, basée sur les éléments-clés suivants:
- Une préoccupation partagée par tous les participants pour l’amélioration des moyens d’existence des communautés pauvres et marginalisées et la promotion du développement durable.
- Un engagement à un dialogue véritable conciliant différentes perspectives, axes et points de vue.
- La création d’une interaction entre divers acteurs (organisations communautaires, ONG, responsables du programme, agences gouvernementales d’aide au développement, fonctionnaires publics, universitaires) représentant des secteurs et disciplines variés et étant engagés dans différents niveaux (local, territorial, national, régional, mondial).
Pour plus d’information, visitez le site web de PRISMA.
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RECOFTC - The Center for People and Forests
Le Centre pour les peuples et les forêts (RECOFTC) est une organisation internationale spécialisée dans la foresterie communautaire et investie de compétences en matière de gestion forestière dévolue localement en Asie et dans le Pacifique. Il œuvre pour que davantage de communautés gèrent activement une plus grande superficie de forêts dans la région afin d’en retirer le maximum d’avantages sociaux, économiques et environnementaux.
Depuis sa création en 1987, RECOFTC a formé plus de 10 000 personnes issues de plus de 20 pays en gestion forestière dévolue localement : des responsables politiques nationaux, des chercheurs, des praticiens et des usagers des forêts. Les services de formation et les activités d’apprentissage sont complétés par des projets locaux, des analyses de questions cruciales et de communication stratégique.
Pour plus d’information, visitez le site web de RECOFTC.
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REFACOF
Le Réseau des femmes africaines pour la gestion communautaire des forêts (REFACOF) est un réseau de femmes impliquées dans la gestion durable des ressources forestières en Afrique. Il a été créé lors de la conférence internationale de 2009 intitulée « Tenure forestière, gouvernance et entreprise : Nouvelles opportunités pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre » qui s’est tenue à Yaoundé, au Cameroun. Quarante-cinq femmes africaines originaires du Burkina Faso, du Burundi, du Cameroun, de la République centrafricaine, de la République démocratique du Congo, du Gabon, du Nigeria, du Rwanda et du Sénégal ont d’abord formé le réseau et élaboré sa déclaration fondatrice.
L’objectif de REFACOF est de faire pression et de plaider auprès des gouvernements et des organisations internationales pour l’inclusion des besoins, des contraintes et des intérêts spécifiques des femmes, ainsi que de leurs droits de propriété sur le territoire et les ressources forestières, dans les réformes et l’agenda politique.
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World Agroforestry
World Agroforestry (ICRAF) est un centre d’excellence en matière de science et de développement qui exploite les avantages des arbres pour les personnes et l’environnement.
Collaborateurs
RRI collabore également avec un groupe important de plus de 150 collaborateurs qui mettent en place et soutiennent les activités de RRI dans le monde. Vous trouverez ci-après une liste qui ne cesse de s’étoffer des collaborateurs de RRI.
A
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Accra Caucus on Forests and Climate Change
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Africa Community Rights Network (ACRN)
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All China Women’s Federation
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Asia Network for Sustainable Agriculture and Bioresources (ANSAB)
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Asia-Pacific Network for Sustainable Forest Management and Rehabilitation (APFNet)
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AsM
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Asociación Interétnica de Desarrollo de la Selva Peruana (AIDESEP)
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Association for Environment and Society
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Association latino-américaine d’éducation populaire et de communication (ALER)
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Association of Environmental Lawyers of Liberia (Green Advocates)
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Autoridad Nacional Afrocolombiana (ANAFRO)
C
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Cameroon Ecology
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CEIBA
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CEIDEPAZ
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Center for Mountain Ecosystem Studies
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Centre d’Accompagnement des Autochtones Pygmées et Minoritaires Vulnérables (CAMV)
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Centre d’Appui à la Gestion Durable des Forêts Tropicales (CAGDFT)
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Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD)
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Centro de Estudios para el Desarrollo Laboral y Agrario (CEDLA)
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Centro para la Autonomía y Desarrollo de los Pueblos Indígenas (CADPI)
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Centro Peruano de Estudios Sociales (CEPES)
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Cercle pour la Défense de l’Environnement (CEDEN)
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CGIAR Systemwide Program on Collective Action and Property Rights (CAPRi)
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Chinese Academy of Forestry Research Institute of Forest Policy and Information
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Chinese Academy of Forestry Research Institute of Forest Policy and Information (CAF-RIFPI)
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Coalition des Femmes Leaders pour l’Environnement et le Développement Durable (CFLEDD)
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COFSUN
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College of Natural Resources and Department of Applied Economics at the University of Minnesota
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Comité de Pilotage de la Reforme des Entreprises du Portefeuille de l’État (COPIREP)
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Commission for Economic, Environmental and Social Policy (CEESP)
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Community Forestry Networks
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Community-Based Forestry Supporters’ Network (COFSUN)
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Confédération Nationale des Producteurs Agricoles du Congo (CONAPAC)
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Conseil national de concertation et de coopération des ruraux (CNCR)
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Conseil pour la Défense Environnementale par la Légalité et Traçabilité (CODELT)
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Consejo Civil Mexicano para la Silvicultura Sostenible (CCMSS)
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Coopérative Agroforestière de la Trinationale (CAFT)
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Cooperative Integral Agro-exctractivista Campesinos de Pando
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Coordinadora de Asociaciones y Comunidades para el Desarrollo Integral de la Región Ch’orti’ (COMUNDICH)
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Coordinadora Nacional de Pueblos Indígenas de Panamá (COONAPIP)
E
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El Instituto de Investigación y Desarrollo Nitlapan (NITLAPAN)
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Ethiopian Development Research Institute (EDRI)
F
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Federación Departamental de Mujeres Campesinas de Cundinamarca (Fedemucc)
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Fédération Nationale des Femmes Rurales (FENAFER)
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FKKM
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Forest Indigenous Peoples’ Network (FIPN)
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Forest Peoples Programme
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Forest Watch
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Foro Interétnico Solidaridad Choco (FISCH)
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Fujian Forestry Department
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Fundacion AGRECOL Andes
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Fundación Maya (Fundamaya)
G
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Global Alliance of Community Forestry
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Government of Acre
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Government of British Columbia
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Government of the Democratic Republic of Congo
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Green Advocates
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Green Development Advocates (GDA)
I
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Indigenous Peoples’ International Centre for Policy Research and Education
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Institut Dayakologi
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Instituto Latinoamericano para una Sociedad y un Derecho Alternativos (ILSA)
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Instituto Para el Hombre, Agricultura y Ecología (IPHAE)
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International Land Coalition
L
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Land Issues Working Group
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Ligue Nationale des Associations Autochtones Pygmées du Congo (LINAPYCO)
M
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Maliasili Initiatives
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Ministry of Agriculture and Forestry, LAO
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Ministry of Forestry, Republic of Indonesia
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Ministry of Forests and Soil Conservation, Nepal
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Ministry of Forests and Wildlife, Cameroon
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Ministry of Land Affairs, Democratic Republic of Congo
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Ministry of Land Affairs, DRC
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Ministry of Natural Resources and Environment, LAO
N
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National Agriculture and Forestry Extension Services (NAFES) of Lao PDR
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National Alliance of Community Forest Associations (NACOFA)
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National Consultancy on Forestry Extension Services and Training (NACO), Gambia
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National Forest Commission and the Secretariat of Environment and Natural Resources of the United Mexican States
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National Land Management Agency, Lao PDR
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Natural Resources Women’s Platform (NRWP)
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NGO Federation
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Nitlapan
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NORMS
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NRM Confederation
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NRM People’s Parliament, Nepal
O
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Observatorio de Territorios Étnicos y Campesinos, Pontificia Universidad Javeriana
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Organización Nacional de los Pueblos Indígenas de la Amazonia Colombiana (OPIAC)
P
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Plateforme Genre et Tenures Foncière et Forestière (TENFOREST)
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Pontianak Institute
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Programa de Estudios Rurales y Territoriales, Universidad de San Carlos (PERT-FAUSAC)
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PUSAKA
R
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Rastriya Dalit Network Nepal
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Réseau pour la Conservation et la Réhabilitation des Ecosystèmes Forestiers (Réseau CREF)
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Réseau Ressources Naturelles (RRN)
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Resguardo Indígena Arhuaco
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Russian Federal Forest Agency
S
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Safir
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Sajogyo Institute
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Samdhana Institute
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Save My Future Foundation (SAMFU)
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Savia Foundation
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Social Entrepreneurs for Sustainable Development (SESDev)
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Society for Promotion of Wastelands Development
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State Forest Administration of the People’s Republic of China
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Sustainable Development Institute
T
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TENFOREST
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The African Women’s Network for Community Management of Forests
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Tropenbos International
U
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University of the Autonomous Regions of the Caribbean Coast of Nicaragua (URACCAN)
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University of the Philippines College of Law, Philippines
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URUNDEI