Alors que les Nations unies, les ONG et les défenseurs de l’environnement préconisent de placer 30 % ou plus de la surface terrestre de la planète sous protection officielle d’ici 2030, une nouvelle analyse met en garde contre les coûts potentiels de l’utilisation de méthodes de protection exclusives pour atteindre ces objectifs. Elle expose également les moyens de les atteindre : En donnant des moyens d’action aux peuples autochtones, aux peuples Afro-descendants et aux communautés locales qui ont des droits fonciers coutumiers sur au moins la moitié du territoire.
L’analyse menée par l’Initiative pour les droits et les ressources (RRI) et réalisée en collaboration avec la Campagne pour la nature montre que plus de 1,65 milliard de peuples autochtones, de peuples Afro-descendants et de communautés locales vivent dans les principales zones de conservation de la biodiversité dans le monde. Pour en savoir plus sur les conclusions du rapport, téléchargez le communiqué de presse :