« Réduire les émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts ». Ce mécanisme REDD+ imaginé par la Banque mondiale est très critiqué. D’autant qu’il est sur le point d’être testé dans un pays qui n’est pas prêt à le faire fonctionner correctement, la République démocratique du Congo.

Les arbres congolais abritent 8 % du carbone forestier mondial. La République démocratique du Congo a donc semblé à la Banque mondiale le pays idéal pour démarrer son programme de lutte contre la déforestation, REDD+, d’ici la fin de l’année, avant de l’étendre à 49 autres pays émergents ou en développement…

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